Cette histoire comprend des éléments de féminité, de bisexualité, de MMF trois…
Je n’arrivais pas à croire comment je m’étais mis dans cette situation. C’était juste quelques DM ivres envoyés à une ancienne petite amie qui ont conduit à se tenir au coin de la rue à un bloc de sa maison en se demandant si je devrais vraiment faire cela. Je veux dire qu’elle est une femme mariée maintenant.
Depuis que ce que nous avions s’est terminé et qu’elle a commencé à sortir avec ce gars, nous sommes restés amis. C’était toujours purement sexuel entre nous, donc c’était difficile pour moi de ne pas fantasmer sur elle, car elle était sauvage. Mais je respectais leur relation et je la gardais platonique. Mais une nuit, il y a eu cette tempête parfaite d’alcool et d’excitation qui m’a conduit à lui envoyer quelques messages tard dans la nuit.
Je suis sûr que j’en ai déjà envoyé qui étaient un peu coquets, mais elle les a juste balayés. Mais cette fois, c’était différent. Elle m’a demandé si je pensais toujours à elle. Et je l’ai carrément admis. Je lui ai dit que je me souvenais de toutes les conneries qu’on faisait : me sucer la bite sur le parking devant mon travail, utiliser des jouets sexuels pour la première fois, regarder du porno et imiter ce qu’ils font dans les vidéos. C’est en fait comme ça que j’ai réalisé que j’aimais les jeux anaux. Elle a innocemment commencé à doigter mon trou et j’ai été instantanément accroché.
Alors elle m’a demandé de venir. Et donc je marche vers sa porte d’entrée maintenant.
Je suppose que son mari est sorti avec des amis ou autre. C’est l’occasion de lui montrer ce qu’elle rate. J’envoie un texto, « Je suis là. » « La porte est ouverte. Viens dans la chambre. »
Je me glisse dans les escaliers. Ma bite est déjà en train de durcir.
Je pousse lentement la porte. Sur le lit. Elle est là. Habillée de sexe de la tête aux pieds : talons hauts noirs, bas en dentelle remontant le long de ses jambes jusqu’à un porte-jarretelles. Ses putains de cuisses, ses courbes. Ses seins sortent de son soutien-gorge. J’ai toujours aimé ses seins. Oh, merde. Ils ont grossi ? ! Ses lèvres sont rouge vif. Tu ferais mieux de croire que c’est une femme.
Je parle plus fort, « Hey ». Qu’est-ce que je peux dire d’autre dans cette situation ? !
« Alors, j’ai remarqué que tu aimes beaucoup de trucs pervers sur Instagram. Tu as aimé un tas de posts féminins. Tu penses que c’est sexy pour une nana de prendre un gros gode et de l’utiliser sur le cul de son homme ? Tu aimes être dominé par une femme ? »
Je ne m’attendais pas à ça. « Ouais. Je suppose »
Elle passe la main sous l’oreiller et révèle une sangle. Le gode doit faire au moins 20 cm. Et épais. Vraiment épais.
« Tu devines ? » Elle rit. « Eh bien, nous allons le découvrir maintenant, n’est-ce pas »
…
« Répondez à votre maîtresse. » Elle se lève et se rapproche de moi. Elle sent incroyablement bon.
J’ai vu un tas de vidéos porno de Fendom, bien sûr. Donc je connais mon rôle ici. « Oui, maîtresse. »
« Très bien. En plus de tous ces posts fétichistes que vous avez aimés, nous avons remarqué que vous continuez à aimer mes posts tout le temps, aussi. »
Attendez. Nous avons remarqué ?
« Puis ces messages que vous m’avez envoyés. Ça nous a fait réfléchir », dit-elle.
La porte de la chambre derrière moi se ferme.
Je me retourne et il y a son mari. Un grand type, plus grand que moi. Je peux admettre qu’il est assez beau. Je ne vais pas mentir, parfois quand je pensais à elle, je l’imaginais là aussi.
« Quoi ? Tu pensais que tu allais juste valser ici et me baiser ? » Elle dit en enfilant le harnais de la sangle.
« Que…que veux-tu que je fasse ? »
« Excusez-moi ? »
« Maîtresse. Ce que vous voulez que je fasse, maîtresse. » Le mari rit en allumant une cigarette. « Mets-toi à genoux. » J’obéis. Elle se tient au-dessus de moi. « Maintenant, dis bonjour à mon mari. Vous m’avez entendu ? MARI. »
Je lève les yeux vers lui. Il tire une bouffée de sa cigarette, et on se regarde dans les yeux. « Bonjour. » « Maintenant… Suce sa bite. »
Divulgation complète : j’ai déjà sucé quelques gars. J’ai commencé à expérimenter après qu’elle et moi ayons rompu. Je pense que tous les trucs pervers qu’elle m’a fait découvrir m’ont rendu curieux. Je suppose qu’elle m’a poussé, sans le savoir, dans cette direction bisexuelle. J’adore ça. Mais ça ? C’est fou… Pas vrai ?
Je sens sa main qui attrape mes cheveux. Cette fois, c’est elle qui me pousse. « Maîtresse veut que tu fasses plaisir à son mari. » Je rampe jusqu’à son mari.
Je commence à déboucler son jean. Je peux déjà sentir sa bite quand je défais la fermeture, puis je fais glisser son pantalon. Il porte un caleçon avec des personnages de dessins animés dessus, censé être drôle je suppose. Mais je ne rigole pas.
Voilà.
Je fais glisser son caleçon et c’est comme si sa bite dure comme du roc jaillissait immédiatement. Je la regarde fixement. Cette bite palpitante. Je lève les yeux vers lui alors qu’il prend une autre gorgée. Elle lui donne un baiser profond avant qu’ils ne me regardent tous les deux.
C’est à ce moment que je suis officiellement devenue leur salope.
À SUIVRE DANS LA PARTIE 2